« Youpii ! Cours de Défense Contre les Forces du Mal ! »

Tout cela était ironique, bien sûr. Ce n'est pas que Llyana n'aimait pas cette matière - de toute façon, elle était bien obligée de la prendre si elle voulait un jour poursuivre une carrière d'Auror, au contraire, elle adorait étudier les sorts et les contre-maléfices ; non, c'était plutôt le fait que ce cours était en commun avec les Serdaigles, et qu'ils étaient partis pour deux heures de bataille entre celle qui se croyait superieure à tout le monde, et qui réduisait l'ambiance de classe plus basse que le niveau de la mer. Parfois, lorsqu'un silence de mort régnait dans la classe, le professeur Wells tentait de faire une petite blague, histoire d'égayer l'atmosphère. Mais les seuls qui s'autorisaient à sourire à ces blagues - dont la plupart était des Pouffys - étaient regardés comme s'ils étaient un peu barjos. Bon, d'accord, le professeur Wells était très gentil comme professeur - un des meilleurs, selon la blonde ( elle avait décidé de changer de couleur après la petite rencontre avec Liams dans la volière ) - mais ses blagues n'étaient pas vraiment. . . risibles. Pour éviter tout malentendu, elle se contentait de dire que chaque membre de la famille Wells avait le même humour. C'était d'ailleurs un des traits de caractère qui faisait que Llya' adorait Berly.

Mais bon, revenons à nos contre-sorts. La Poufsouffle marchait tranquillement - pourquoi se presser pour assister à un cours que l'on savait déjà pourri d'avance ? - grimpant une marche à la fois les escaliers qui la ménerait à la porte de sa salle. Une fois arrivée - et accélérant un peu le pas pour éviter que l'escalier ne l'envoie autre part et qu'elle arrive en retard, elle rentra dans la salle, et s'assit à côté d'Eliott, son meilleur ami, déjà arrivé. Il ne l'avait pas attendu, pour une fois, et la blonde soupçonnait que c'était parce qu'il voulait lui donner une petite leçon pour avoir insulté son hibou ce matin, au petit déjeuner. Mais vraiment, ce fichu oiseau n'en faisait qu'à sa tête ! Sauf quand il était avec son maître, évidemment. Llya' passait toujours pour la dernière des imbéciles lorsqu'elle devait lui emprunter Percival pour envoyer une lettre. La prochain fois, elle en prendra un de l'école, comme ça, elle n'aurait pas à passer 30 minutes en haut de la volière à appeler ce maudit hibou. Mais le truc, c'est que Percival adorait Yhoan, apparemment, et elle ne rendrait les choses qu'encore pire si elle en prenait un autre. Autrement dit, c'était un cercle vicieux dans lequel elle ne pouvait s'en sortir.

Elle sortit ses livres, jeta un regard d'excuse à Eliott qui lui sourit en retour - ils se pardonnaient toujours en un temps reccord, et ils attendirent, comme le reste des élèves, l'arrivé du professeur Wells, qui ne tarda pas. A peine entrée dans la salle de classe, celui-ci annonça que chaque Poufsouffle devait se mettre avec un Serdaigle, et qu'il devait s'entraîner à lançer le sort de désarmement, mais muet. Cela était peut-être méchant, mais Llya' espérait qu'elle ne serait pas avec Loraleen Lehane. Depuis quelque temps, elle avait remarqué que quelque chose se tramait entre elle et son cousin tout nouvellement trouvé - Zepelin, et elle ne pouvait s'empêcher d'être un peu jalouse envers elle, et de ne pas forcément être très gentille lorsque leurs chemins venaient à se croiser. Zepy avait bien essayé d'y trouver un semblant d'explication, mais la Pouffy restait déterminée à ne rien lui dire : déjà qu'elle avait eu un faible pour son cousin au départ, elle n'allait pas encore plus se ridiculiser en lui disant qu'elle était jalouse, maintenant ! Non, ça, pas question ! Alors, pour l'instant, elle faisait avec, et ruminait dans son coin. Et quand Thomas l'aperçevait, il se moquait d'elle. Après tout, c'était lui qui avait fait le lien avec la famille Clyde et la notre, mais cela ne lui donnait quand même pas le droit de jouer les conseillers affectifs !
Mais bien sûr, elle se retrouvait avec Loraleen. Dans ces cas-là, la chance n'était jamais du côté de la blonde. Il fallait donc une fois de plus faire avec. Elle mit son masque en froid en place sur son visage, et se rapprocha de sa partenaire d'entraînement pour ce cours.

« J'espère que tu es prête à parer, parce que je ne retiens jamais mes sorts. »

Et voilà maintenant qu'elle se mettait à la menacer ! Ca, cela n'allait pas bien passer auprès de son cousin. . . Mais bon, elle s'en fichait, après tout, elle n'avait jamais cherché à cacher son hostilité envers la jeune brune, et ce n'était pas aujourd'hui qu'elle commencerait. Tout ce qu'elle espérait, c'était que le prof ne l'ait pas entendue, parce que sinon, ça allait chauffer pour son matricule.

Elle prépara sa baguette, la Serdaigle fit de même. Et le pseudo-duel commença. Llya' se concentra, et puisa dans ses ressources magiques pour réussir son sort.

Défense contre les forces du mal - professeur Wells - deuxième étage - 15h

Eh bien voilà qui était fait, un coup d’œil à son emploi du temps et la voilà qui filait en cour comme une flèche. Eh oui, il serait indigne pour un Serdaigle d’arriver en retard en cour et plus particulièrement cette Serdaigle qui détestait être en retard, ou que les gens le soient, insupportable selon elle: c’est donc pour ca qu’elle ne fera jamais attendre les gens, le jour où elle vous fait attendre c’est qu’il s’est passé quelque chose de grave. Bref, revenons en à nos moutons. La jeune Loraleen apprit donc qu’elle avait classe avec les Pouffy, ce qui ne l’enchantait pas tant que ca voyait vous, non elle n’aimait pas tellement les Poufsouffle enfin une en particulier… oui, vous l’avez deviné ce n’est autre que la brune devenu blonde, cette fille qui lui fait froid dans le dos, cette fille qui lui lance des regards noirs pourquoi ? Ah ! Telle est la question voyez-vous ! Car on n’en sait strictement rien mais du jour au lendemain PAAF elle devint comme ca.

La demoiselle montait les marches pour aller au deuxième étage lorsqu’elle croisa plusieurs personnes dont Zepelin à qui elle adressa un petit sourire avant de presser le pas tellement elle était gênée - timidité, timidité quand tu la tiens…un jour tu l’a tueras crois moi - de toute façon elle serait à nouveau menée à le recroiser vu qu’ils partageaient le même cours.

Bref, elle arriva dans le couloir où la classe commençait à entrer et elle suivit le mouvement, alla se placer à côté d’une amie qui se trouvait vers le milieu de la salle. Loraleen sortit ses livres prête à travailler, le prof entra un sourire aux lèvres - dieu seul sait pourquoi - et attendit que tout les élèves s’installent pour annoncer l’objectif de son cour, donna un coup de baguette qui fit claquer la porte. Loraleen s’autorisa un bref coup d’œil aux élèves avant que le prof n’annonce qu’aujourd’hui c’était: travaux pratiques ! - génial au moins on bougerait un peu - il avait décidé que les sixièmes années apprendrait les sortilèges non formulé aujourd’hui ! Du moins, ils commenceraient. Un Pouffy avec un Serdy avait-il dit, mon dieu avec qui allait-elle pouvoir se mettre, elle qui avait espéré se mettre avec son amie c’était raté, il fallait qu’elle se trouve quelqu’un avant que le prof ne décide pour elle. Un petite mouvement de panique s’empara d’elle - oui elle n’avait en aucun cas envie de se retrouver avec Llyana, c’était méchant mais c’était la stricte vérité, celle-ci déjà ne pouvait se la voir dans les couloirs alors imaginez vous la galère si en plus elle avait le droit d’utiliser un sortilège sur notre Loraleen internationale ! - elle se tourna et se retrouva face au professeur qui lui fit signe de se mettre avec Llyana…

Loraleen jeta un coup d’œil à la Pouffy qui souriait précédemment avec son ami et remit son masque froid et peu amical avant de s’avancer vers sa partenaire serdaigle, bon Dieu, cette furie allait en faire de la pâté ! Non pas que Loraleen avait peur, non elle savait se défendre mais bon on ne sait jamais… et puis qu’il y’a-t-il à avoir peur un minimum ! Si vous verriez son expression je peux vous dire que vous ne rigoleriez pas ! Loraleen est plutôt balèze en sortilège seulement la demoiselle n’a pas confiance en elle ce qui fait que dès qu’elle perd ses moyens c’est… comment dire: la grosse merde voilà ! Et là, elle n’était pas du tout en confiance…. Mais pas du tout

La furie ▬ J'espère que tu es prête à parer, parce que je ne retiens jamais mes sorts.

Et voilà que la blonde ce mettait à la menacer ! Qu’est-ce que je vous disais !!! Elle allait l’envoyé dans une boite à l’infirmerie c’est pas possible. Plus celle-ci la regardait et plus la jauge courage et confiance descendait en Loraleen, la blonde n’avait jamais vraiment cherché à caché son hostilité envers elle mais là elle se surpassait !

Les deux jeunes femmes sortirent leur baguette dans un geste si synchro que c’en était flippant, elles se mirent en garde, le regarde de Llyana se crispa de concentration et au moment où une lumière blanche sorti de sa baguette, Loraleen beaucoup trop trouillarde pour essayé ce que le professeur souhaitait à savoir les sortilèges informulé celle-ci murmura un « Protego » mais un peu trop tard et la lumière blanche la frappa en pleine poitrine, la force du sort ajouté à la « haine » ou l’hostilité ainsi que de la maitrise - oui elle n'était pas novice dans ce domaine là croyez moi - de la Poufsouffle projeta Loraleen loin, très loin dans la salle. Elle eut l’impression d’avoir traversé - et c’était le cas - toute la salle avant d’être enfin « retenue » par le mur...

Et il fut un peu trop bien réussi. Le sort de la blonde envoya la Serdy dans le décor, enfin, dans l'étagère se situant à l'autre bout de la salle, à peu près cinq mètres plus loin, la faisant attérir sur les fesses. Elle ne bougeait plus, en position assise - affalée - probablement sonnée.

Le temps venait comme de s'arrêter. Tout le reste de la classe avait les yeux rivés vers Llyana, toujours en position de combat, sa baguette brandie devant elle. Elle jeta un coup d'oeil furtif au professeur, qui la regardait comme si elle venait de commettre un quelconque crime. Elle avait juste voulu lancer un simple sort, par Merlin ! Mais que s'était-il passé ? Sa fureur contre l'autre aurait-elle tourné en énergie magique ? Ca devrait probablement être ça. Pour une fois qu'elle fonctionnait avec ses émotions, il fallait qu'elle fasse une bourde. Comme la Bombabouse qu'elle avait envoyé quand elle avait 8 ans chez tata Janice, lorsqu'on lui avait dit qu'elle n'aurait pas le droit de souffler les bougies d'anniversaire de son frère. Et bien sûr, fallait que ça tombe sur la fille qui semblait avoir le beguin pour le cousin sur lequel elle-même avait craqué au départ. Mais pourquoi les choses ne pouvaient-elles jamais être simple ? Non, mais c'est vrai, si c'était tombé sur Eliott, elle se serait excusée, l'aurait emmené à l'infirmerie, et ils auraient ça autour d'une bièraubeurre le week-end d'après ! Mais avec la brune, elle ne se voyait pas lui proposer de les accompagner à la prochaine sortie au Pré-au-Lard histoire de se faire pardonner. Mais par contre, elle le comptait bien, se faire pardonner. Elle avait beau mettre un masque froid et lui parler mal - quand elle devait lui parler, c'est-à-dire pas très souvent, à vrai dire - comme si elle l'haïssait au plus profond de son être, jamais elle n'avait voulu l'attaquer comme cela ! Au pire, elle aurait juste continué les petites menaces comme celle qu'elle avait dit avant de lancer son sort.

La Pouffy était en pleine panique, maintenant. Une minute à peine s'était écoulée depuis le moment où il semblait qu'elle eut voulu apprendre à Loraleen à voler, son cerveau tournait à plein régime, ne sachant réellement que faire. S'excuser auprès de la classe et s'enfuir ? Laisser le professeur s'en charger et attendre dans un coin de la classe ? Llya' lança un regard appelant Eliott à l'aide, mais son comparse ne fit que la regarder fixement, en hochant un peu sa tête, un compromis entre : " tu n'aurais pas du faire ça " et " eh bien voilà, tu t'es vengée ! ". Pas d'espoir d'aider de ce côté-là, donc. Surtout qu'elle pouvait apercevoir qu'il souriait légèrement, lui indiquant qu'elle était bonne pour subir sa moquerie au moins jusqu'à la fin de la journée.

Alors elle fit la chose qui lui semblait la plus sensée à ce moment-là - montrant une fois de plus à la classe qu'elle pouvait être lunatique comme pas possible : elle rangea prestemment sa baguette, accouru près de la jeune fille, s'agenouillant à ses côtés, essayant de voir son état.

« Loraleen ! Loraleen ! Ca va ? »

La question inutile par excellence, mais que tout le monde ne pouvait s'empêcher de poser. Mais le truc, c'est que Llya' avait beau parler à la Serdy - et s'inquiéter pour son état, à la surprise générale, même celle de l'autre qui se sentait supérieure à tout le monde, celle-ci n'avait pas l'air de vouloir se réveiller. C'est à ce moment-là que le professeur Wells décida d'intervenir, peut-être par pitié pour la blonde qui ressemblait de plus en plus à une personne bipolaire.

« Ecartez-vous, miss Abersmith, je vous prie. »

L'homme sortit sa baguette magique, et conjura un brancard, sur lequel il mit la brune. Il donna encore un petit coup, faisant avancer le brancard en même temps que lui-même. Direction l'infirmerie, sûrement. Les autres élèves continuèrent de regarder la Pouffy, certains ouvrant grands leurs yeux, d'autres commençant à chuchoter rapidement, inventant probablement toutes sortes de choses sur elle pour expliquer son geste. Llyana n'avait pas finit d'en entendre parler, surtout avec cette Gossip Witch qui rodait partout, ces derniers temps. . .

Elle regarda Eliott une nouvelle fois, qui lui lança un regard désolé. Elle était vraiment perdue, et était débout, là, en plein milieu de la classe, attendant un je-ne-sais-quoi qui viendrait la sauver. Que ce soit un preux chevalier sur son beau étalon blanc, ou bien un trou qui l'aspirerait jusqu'en enfer, elle n'en avait que faire, mais qu'elle disparaisse, et vite.

Heureusement pour elle, le professeur fit signe de les suivre, lui, le brancard, et la jeune fille. Elle rappliqua vite fait, ne laissant même pas le temps aux autres d'apercevoir la lueur de désespoir qui régnait dans ses yeux. Mais soudain, une autre pensée lui traversa l'esprit : oh, par Dumbledore, mais qu'allait dire Zepy quand il venait à apprendre ça ?! Elle venait de signer son arrêt de mort, pour sûr. Il ne lui restait plus qu'à dire au revoir à Mastermind, et rédiger son testament pour léguer la plupart de ses affaires à Eliott et Yhoan, ainsi qu'à Eliott - et aussi peut-être un peu à Zepelin, histoire de se faire pardonner une fois partie au pays des sorciers qui ne savent pas contrôler leur force magique.

Spoiler:

Le vent sifflait encore à ses oreilles, elle affichait un air horrifié jusqu’au moment où sa tête frappa violemment une étagère et de là plus rien… elle se sentit à peine glisser le long du mur pour se retrouver assise puis glissa pour se retrouver couchée au sol… Les livres qui étaient à la base sur l’étagère tombèrent et finir d’achever la jeune Serdaigle. Si la blonde avait pour but de la mettre hors d’état de nuire, dites lui qu’elle à réussit et ce avec brio ! La brunette était complètement sonnée, assommée…

Pour tout dire, Loraleen, se sentait légère, elle ne sentait plus son corps elle avait l’impression d’être un esprit libre, sans contrainte d’un corps… est-ce qu’elle trouvait ca apaisant ? Juste a peine, cette sensation de flotter était tout bonnement agréable. Loraleen n’entendait pas ce qu’il se passait dans « le monde réel » il y’avait comme une interconnexion qui faisait tout buger pour laisser place à une sorte de bourdonnement sourd. Devant ses yeux fermés, s’affichait une sorte d’écran blanc pour ainsi dire rien jusqu’à ce que les images revinrent: la menace, la furie blonde lui lancer le sort, un éclair blanc, le mur, le vide.

Son cerveau se remit en marche et lui permit de se poser ses éternels questions, mais qu’avait-elle contre elle ? Que lui avait-elle fait pour mériter tant de haine et d’hostilité ? Peut être n’était-elle pas morte cette fois ci mais qu’en sera-t-il de la prochaine fois ! Loraleen se mit à stresser, à redouter le moment où ses yeux déciderons de s’ouvrir et de devoir affronter à nouveau la blonde. Seulement, pour la première fois, son corps était d’accord avec elle et lui fit une fleur et la jeune femme se réfugia dans ce monde fermé qu’était son esprit ou que son esprit avait crée pour elle.

Loraleen avait perdu toute notion du temps et se demanda comment de temps elle était dans cet état là. Cependant, elle commençait à percevoir les bruits de la salle, des élèves…

la furie ▬ Loraleen ! Loraleen ! Ca va ?

Euh, elle se foutait de sa gueule pas vrai ? Comment aurait-elle pu bien aller après ce qu’elle venait de lui envoyer ? On croit rêver !
Et quand bien même, elle aurait pu répondre elle s’attendait à quoi ? « oui merci bien » surement pas non !

professeur wells ▬ Écartez-vous, miss Abersmith, je vous prie.

A ce moment là, Loraleen senti son corps s’élever et quitter le sol dur pour se retrouver sur une sorte de, de chose molle et duveteuse - qu‘elle n‘aurait pu identifier son cerveau beaucoup trop embrumé pour réfléchir correctement - que le professeur semblait avoir fait apparaitre. Elle entendit des chuchotements indistincts, des murmures par ci par là puis à nouveau rien, juste le froid, surement des couloirs vide à cette heure ci puis elle compris qu’on la transportait à l’infirmerie… et espérait de tout cœur que son cas ne soit pas désespéré ! M’enfin, qu’est-ce que je raconte ! Évidement qu’il n’était désespéré ! La décision de se réveiller lui appartenait entièrement et je dirais à ce moment là elle n’y était pas du tout mais alors du tout prête. Affronter la réalité et surtout c’te furie très peu pour elle mais alors vraiment très peu…

Vous savez c’est-ce genre de choc qu’on à du mal à oublier, vous savez ceux que même avec toute la bonne volonté qu’on à on garde enfoui au fond de soi, on prétend que ca va ce n’est pas grave qu’on a oublié alors que pas du tout ! C’est aussi ceux qui vous ronge alors qu’à la base la personne vous n’avez rien contre, là au contraire, elle ne va plus faire comme si de rien était ca croyez moi, si elle voulait jouer à ca, elles allaient jouer ! Non mais ! Elle avait dépassé les bornes, c’était la goutte de trop là, les regard noirs, les menaces à la limite mais là attaquer physique c’était de trop ! Puis zut hein !

l‘infirmière ▬ mon dieu ! Mais que lui est-il arrivé ? Posez là, ici, dans ce lit et laisser moi faire mon travail ! Dit l’infirmière révoltée qui ne supportait pas que les élève aillent mal - allez comprendre la chose -…. Se lancer des sorts mutuellement et puis quoi encore ! On aura tout vu, tout vu ! quelle inconscience ! Marmonna-t-elle toujours aussi furieuse.

Loraleen entendit le professeur et Llyana s’éloigner pour laisser l’infirmière «  faire son travail » comme elle le dit si bien , l’infirmière s’approcha d’elle et fit toute sorte de chose qui étaient sensés la faire « guérir » Cependant, ce que Loraleen voulait savoir c’est-ce qui allait se passer pour elle, pour Llyana.

Spoiler: